Familial Consent for Deceased Organ Donation Among Immigrants and Long-term Residents in Ontario, Canada: A Population-Based Retrospective Cohort Study

Canadian Journal of Kidney Health and Disease(2017)

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摘要
Many families choose not to consent to organ donation at the time of their loved one's death. In Ontario, Canada, whether these decisions vary by ethnicity remains unclear.To compare the proportion of families of immigrants who consented for deceased organ donation with families of long-term residents.Population-based retrospective cohort study.Potential donors in Ontario, Canada, between November 2008 and March 2013.We used linked administrative databases to study the proportion of families who consented for deceased organ donation.Overall, of the 2873 families of potential donors approached, 1912 (67%) provided consent for deceased organ donation. Families of immigrants were less likely to provide consent compared with families of long-term residents (46% [135 of 291] vs 69% [1777 of 2582]; adjusted rate ratio (RR): 0.72; 95% confidence interval [CI]: 0.63-0.81). When examined by the country of birth, families of immigrants from the following regions were less likely to consent to organ donation compared with long-term residents: South Asia (RR: 0.71; 95% CI: 0.55-0.91), East Asia and Pacific (RR: 0.68; 95% CI: 0.53-0.88) and Middle East, North Africa, and sub-Saharan Africa (RR: 0.58; 95% CI: 0.37-0.91).We could not determine why consent was not obtained. We had a small sample of immigrants. We only had access to the potential donors' information and not the family member who was approached for consent. Many characteristics that we examined were nonmodifiable (eg, age, sex).In Ontario, families of immigrants are less likely to consent to deceased organ donation. There is an opportunity to better understand the reasons for lower consent among certain immigrant groups.À la mort d’un être cher, plusieurs familles refusent de consentir au don d’organes. Au Canada, particulièrement dans la province de l’Ontario, il demeure difficile d’établir si une telle décision varie selon l’origine ethnique des personnes concernées.L’étude visait à comparer la proportion de familles issues de l’immigration ayant consenti au don d’organe après le décès d’un proche à celle de familles résidant au pays depuis longtemps.Il s’agit d’une étude de cohorte rétrospective basée sur une population.On a ciblé les familles résidant en Ontario, au Canada, qui avaient été abordées entre septembre 2008 et mars 2013 en vue de faire don des organes et des tissus d’un proche décédé.Nous avons utilisé les bases de données couplées du système de santé pour établir la proportion de familles ayant consenti au don d’organes d’un proche décédé.Dans l’ensemble, la majorité des 2 873 familles abordées, soit 1 912 (67 %), a consenti au don d’organes de leur proche décédé. Nous avons toutefois constaté que les familles issues de l’immigration se sont montrées plus réticentes à consentir au don d’organes que les familles de résidents de longue date (46 % [135 of 291] contre 69 % [1777 of 2582]; RR à 0,72 %; IC 95 % : 0,63 à 0,81). La comparaison sur la base du pays d’origine a permis d’établir que les personnes en provenance des régions suivantes étaient plus susceptibles de refuser de donner leur consentement : Asie du Sud (RR à 0,71; IC 95 % : 0,55 à 0,91), Asie de l’Est et du Pacifique (RR à 0,68; IC 95 % : 0,53 to 0,88), Moyen-Orient, Afrique du Nord et Afrique subsaharienne (RR à 0,58; IC 95 % : 0,37 to 0,91).La portée des résultats de cette étude pourrait être limitée par plusieurs facteurs : notamment, nous n’avons pas pu obtenir d’information sur les raisons du refus de consentement, nous n’avions accès qu’aux renseignements du donneur potentiel et non à ceux des membres de la famille abordés pour la demande de consentement. Ajoutons à cela la taille restreinte de l’échantillon des familles issues de l’immigration et le fait que plusieurs des caractéristiques examinées n’étaient pas modifiables (l’âge ou le sexe, par exemple).Cette étude conclut qu’en Ontario, les familles issues de l’immigration sont plus réticentes à consentir au don d’organes et de tissus d’un proche décédé. Dès lors, une occasion nous est offerte pour tenter de mieux comprendre les raisons qui expliquent cette faible proportion de consentement chez certains groupes d’immigrants.
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关键词
deceased organ donation,familial,ontario,immigrants,long-term,population-based
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