Parasomnies comorbides dans la narcolepsie et l’hypersomnie idiopathique

Médecine du sommeil(2022)

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摘要
Évaluer la fréquence, les déterminants et l’impact clinique des parasomnies cliniques NREM et REM chez les patients adultes atteints de narcolepsie de type 1 (NT1), de narcolepsie de type 2 (NT2) et d’hypersomnie idiopathique (HI) par rapport à des témoins sains. Les parasomnies familiales et personnelles ont été évaluées par questionnaire et entretiens médicaux chez 710 patients (220 NT1, 199 NT2, et 221 HI) et 595 témoins sains. À l’exception du somnambulisme alimentaire (SA), les parasomnies NREM actuelles étaient rares chez les patients et les témoins. Le SA était plus fréquent chez les patients NT1 (7,9 %, contre 1,8 % chez les patients NT2, 2,1 % chez les patients HI et 1 % chez les témoins) et associé à un sommeil nocturne perturbé ( odds ratio [OR] = 3,9) et à une alimentation nocturne en pleine conscience (OR = 6,9), mais pas au sexe. Le trouble du comportement en sommeil paradoxal était plus fréquent chez les patients NT1 (41,4 %) que chez les patients NT2 (13,2 %) et touchait plus souvent les hommes que les femmes (OR = 2,4). Il était associé à un sommeil perturbé, à des symptômes dépressifs et à l’utilisation d’antidépresseurs. Des cauchemars fréquents (> 1/semaine) ont été rapportés par 39 % des patients atteints de NT1, 29 % de NT2 et 27,8 % de HI (contre 8,3 % chez les témoins) et ont été associés à des symptômes dépressifs dans la narcolepsie. Aucune parasomnie n’a aggravé la somnolence diurne. Les parasomnies NREM comorbides (à l’exception du SA) sont rares. Les parasomnies REM sont fréquentes (surtout dans le NT1) et associées au sexe masculin, à un sommeil perturbé, à des symptômes dépressifs et aux antidépresseurs.
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