Les antécédents familiaux de diabète type 2 et d’HTA affectent-ils le phénotype du syndrome des ovaires polykystiques ?

N. Cheikhrouhou,H. Ennaifer,I. Kammoun, W. Grir,B. Saad, L. Ben Saalem,C. Ben Slama

Annales D Endocrinologie(2016)

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摘要
Objectif La physiopathologie du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) reste mal elucidee. La presence d’antecedents familiaux de premier degre d’HTA ou de diabete type 2 (DT2) serait associee a une aggravation du phenotype. L’objectif de notre travail etait de chercher un lien entre les antecedents familiaux et le phenotype du SOPK. Methodes Etude retrospective sur 50 patientes porteuses de SOPK partagees en 2 groupes : groupe 1 (avec antecedents familiaux de DT2 ou HTA ; n  = 23) et groupe 2 (sans antecedents familiaux ; n  = 27). Nous avons compare le phenotype du SOPK dans les deux groupes. Resultats Les patientes du groupe 1 etaient significativement plus âgees (27,3 ± 6,17 vs 23,15 ± 5,1 ans, p  = 0,012) avec un âge de menarche significativement plus jeune (11,77 ± 1,3 vs 12,59 ± 1,64 ans, p  = 0,05). Le phenotype le plus frequent etait celui associant la spaniomenorrhee, l’hyper-androgenie et les signes echographiques, avec des frequences comparables dans les deux groupes. Les troubles menstruels etaient plus frequents dans le groupe 1 (87 % vs 77,8 %) mais sans difference significative. Malgre que la frequence de l’obesite etait comparable dans les 2 groupes (56,5 % vs 44,4 %, p  = ns), le diabete type 2 et la baisse du HDL cholesterol etaient significativement plus frequents dans la groupe 1 ( p respectifs : 0,05 et 0,022). Discussion Les patientes ayant un SOPK avec une histoire familiale de DT2 ou d’HTA auraient un risque metabolique plus eleve que les autres.
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