Radiothérapie àvisée curative danslesadénocarcinomes deprostate localisés survenant après 80ans. Une étude duRare Cancer Network

T.D. Nguyen,D. Azria, D. Brochon, P. Poortmans,R. Miller,L. Scandolaro, W. Majewski,U. Abacioglu, L. Moretti,S. Villa

Cancer Radiotherapie(2007)

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摘要
Les réactions vaccinales les plus fréquentes sont les réactions locales (inflammation de chronologie non immédiate, liée à un phénomène d’Arthus, ou, plus souvent, non spécifique, et, plus rarement, nodules persistants, abcès stériles, eczémas). Les réactions généralisées sont moins fréquentes, mais plus préoccupantes, que les réactions locales. Les études basées sur les tests cutanés, les dosages des anticorps spécifiques (IgM/IgG, IgE) des constituants des vaccins, et les injections de rappel montrent que la majorité des réactions ne résulte pas d’une hypersensibilité aux constituants des vaccins, exception faite des réactions anaphylactiques et/ou immédiates dans lesquelles la valeur diagnostique des tests cutanés à lecture immédiate et des dosages des IgE sériques spécifiques est plutôt bonne. En cas d’allergie prouvée ou hautement probable, les injections de rappel sont contre-indiquées lorsque le vaccin n’est pas indispensable ni obligatoire. Si tel n’est pas le cas, le rappel doit être repoussé tant que les concentrations des anticorps protecteurs restent élevées. Lorsque la (re)vaccination est indispensable ou obligatoire, avec des taux faibles d’anticorps protecteurs, les injections séquentielles, par voie intramusculaire profonde, de vaccins contenant un nombre limité d’antigènes vaccinants sont usuellement bien tolérées dans les réactions locales inflammatoires et les réactions généralisées bénignes et modérées. Dans les réactions IgE-médiées, le rappel doit être effectué selon une méthode d’accoutumance en milieu (de type) hospitalier. Enfin, mis à part l’éviction, il ne semble pas exister de méthode préventive efficace des autres réactions vaccinales (nodules sous-cutanés, abcès récurrents stériles, eczémas, nævi avec hypertrichose), si ce n’est, peut-être, les injections intramusculaires profondes.Most frequent allergic-(like) reactions to vaccines are local (non-immediate inflammation resulting from Arthus phenomenon or, most frequently, non-specific, and, less frequently, persistent nodules, sterile abcesses and eczema). Generalized reactions are less frequent, but more worrying, than local reactions. The results of studies based on skin tests, specific antibody levels (IgM/IgG, IgE) determinations, and booster injections, show that most reactions do not result from vaccine hypersensitivity, except for anaphylactic and/or immediate reactions for which immediate-reading skin tests and specific IgE determinations (when available) have a good diagnostic value. In patients with proven or highly suspected allergy, withholding of injection of the vaccine is advised if vaccination or booster immunization is not essential (children with high levels of serum specific IgM/IgG, vaccination not compulsory, high risk of reaction versus low benefit of the vaccine). If vaccination is compulsory or essential, immunization based on sequential (intramuscular) injections of vaccines containing a single or a limited number of vaccinating agents is usually well-tolerated in children reporting local inflammatory reactions or mild to moderately severe generalized reactions. In children with IgE-mediated urticaria/angioedema and anaphylaxis, the responsible vaccine should be injected using a “desensitization” procedure, performed under medical supervision in the hospital. Although non validated, intramuscular injection of the vaccines with large and long needles may prevent other reactions to vaccines, such as persistent nodules, sterile abcesses, eczemas and naevi with hypertrichosis.
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curative danslesadénocarcinomes,cancer
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